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Au départ furent les galères. Puis ce furent les bagnes, implantés en métropole avant d'être étendus aux DOM-TOM (Guyane, Nouvelle-Calédonie). Enfin, il y eut les bagnes coloniaux, institués par Napoléon III et abrités par l'AEF et l'AOF. Il en fut ainsi...
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Camp de la relégation, Saint Jean du Maroni La loi du 27 mai 1885 (lire le texte), dite loi sur la relégation des récidivistes, entraîne « l’internement perpétuel sur le territoire des colonies ou possessions françaises » des délinquants et criminels...
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Gaston Monnerville veut faire de la Guyane un département comme les autres. Pour lui, le bagne est une entrave au développement du territoire. En 1931, et sans rapport avec le bagne, un procès se déroule à Nantes. Les accusés sont des Guyanais ayant participé...
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Document 2004 - Criminels terrifiants ou pauvres bougres injustement condamnés, les bagnards font partie de l'histoire de la Bretagne et de celle de Brest. De 1749 à 1858, ils ont représenté près d'un dixième de la population de la ville et ont largement...
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... Au début des années 1880, la IIIème République, soucieuse d’ordre et de loi, juge la Nouvelle-Calédonie peu redoutée des criminels et préfère y attirer des colons libres, dignes de ses richesses. La Guyane, de réputation plus sinistre, redevient terre...
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L'idée du danger que représenterait la concentration de forçats en cours de peine dans les ports de Toulon, de Brest et de Rochefort se répand surtout dans les années 1830. La population craint qu'ils deviennent alors les centres d'une infection menaçant...
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Publiée le 30 sept. 2013 La loi française a condamné, entre 1887 et 1953, plus de 17 000 hommes et femmes à l'exil à perpétuité. Envoyés en Guyane, ils ont enduré, sans autre espoir que l'évasion, les terribles conditions de vie et de détention d'une...
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Journaliste et amateur d’histoire, Norbert L’Hostis est notamment l’auteur du livre "Le bagne où la mort" où il s’intéressait particulièrement au sort des bagnards arrivés à Brest par la chaîne. A l’aide de nombreux visuels, il invite à une petite remontée...
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Cordonnier à Belleville, Alexis Trinquet prend en 1871 le parti de l'insurrection et est élu membre de la Commune. Echappant aux exécutions sommaires de la Semaine sanglante, il est condamné aux travaux forcés à perpétuité et envoyé à Toulon, où il s'embarque...
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Un forçat accusé d'un crime qu'il n'a pas commis et qui trouve l'amour après une opération de chirurgie esthétique. Retrouvez les aventures d'un évadé du bagne à la forte carrure et au cœur sensible... (Sur le site INA)
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