/image%2F0535626%2F20201118%2Fob_414a9e_bannie-cre-culture-et-justice-2.png)
Dessin baroque avec le glaive, provient du site d’images gratuites « Pixabay",
image modifiée par Annabel des éditions Gaelis
Actualisation portrait du jour Tatjana Malik
Culture et justice développe la rubrique Portrait du jour et ouvre ses pages aux fidèles lecteurs de la page en recevant avec infiniment de plaisir la romancière Tatjana Malik
/image%2F0535626%2F20201118%2Fob_0bcda3_43951399-112400713076131-5752712701302.jpg)
De nationalité australo-suisse, Tatjana Malik a suivi une partie de sa scolarité en Australie puis, en Suisse. Après son gymnase effectué sur le sol vaudois, elle a poursuivi ses études dans le domaine paramédical, avant d’intégrer en 2002, l’école de police. Elle a exercé comme gendarme, puis comme inspectrice. Après quelques années d’enquêtes, elle s’est tournée vers le domaine des sciences forensiques et a rejoint la brigade de police scientifique.
Depuis peu, elle a obtenu un poste de spécialiste au sein de la « Cellule de renseignement forensique » de ladite brigade. L’écriture s’est ajoutée à ses autres passions artistiques, respectivement la peinture et la musique. Un lien indélébile est son premier roman. Il s’agit d’un polar associant des techniques en sciences forensiques, à une histoire purement fictive.
Merci Tatjana pour l’interview accordé à l’intention des lecteurs . Ph.P.
Pouvez-vous décrire les étapes de votre parcours d’auteur : ce qui a déclenché, votree première publication ?
Difficile d’expliquer comment m’est venue l‘envie d’écrire. Je me rappelle qu’un jour, en été 2015, je me suis assise devant mon ordinateur et que subitement j’ai eu envie d’écrire une histoire. La trame s’est mise en place, au fur et à mesure de l’écriture. Au début, je ne savais pas qui serait le ou les auteurs des crimes, combien il y aurait de victimes et comment je terminerais mon roman. Les idées fusaient et occupaient continuellement mon esprit jusque dans mon sommeil. Lorsque j’ai approché de la fin, j’ai décidé que celle-ci serait aussi le début de l’intrigue et j’ai donc dû procéder à quelques modifications.
Je pense que mes connaissances et mon expérience professionnelle m’ont inspirée pour quelques idées de scénarios et pour la cohérence de l’histoire.
Une fois achevé, j’ai transmis mon manuscrit à un membre de ma famille puis à un collègue de travail. Tous deux m’ont conseillé de l’envoyer à un éditeur, ce que j’ai finalement entrepris après plusieurs mois de réflexion. À la base, j’avais écrit ce livre pour moi et il m’a fallu du temps pour accepter de le partager, ne sachant pas ce qu’en penseraient les lecteurs et à quoi je serais confrontée.
Une fois éditée, j’ai dû apprendre à me vendre et je me suis prise assez rapidement au jeu, notamment en créant un site internet, en m’inscrivant sur des réseaux sociaux, en prenant contact avec des journalistes et en participant à des salons ou à des séances de dédicaces, l’occasion d’échanger quelques mots avec des lecteurs ou avec d’autres écrivains. Il est vrai que ce travail de marketing prend du temps et ce n’est pas toujours évident avec un travail à temps plein qui me passionne.
2- Avez-vous des thématiques de prédilections ?
Pas vraiment. J’aime lire des polars ou thrillers, mais également des livres de science-fiction. Peut-être qu’un jour je me lancerai aussi dans l’écriture d’un livre de ce style…
3- Que pouvez-vous nous dire à propos de votre premier roman ?
/image%2F0535626%2F20201118%2Fob_341566_cvt-un-lien-indelebile-9482.jpg)
« Un lien indélébile » est un polar qui se déroule en Suisse-romande. L’enquête débute lorsqu’un corps en état de putréfaction avancée est découvert dans un appartement sordide à Chapelle, dans le Canton de Vaud. Jessica Aeby de la police scientifique qui a été mandatée, est loin de se douter que ses démarches pour identifier le cadavre engendreront des réactions irrationnelles en chaîne, jusqu’à ouvrir les portes de l’horreur. Certaines choses qui étaient jusqu’alors tues vont être révélées au grand jour… « Un lien indélébile » est une histoire purement fictive tout comme la description des lieux. Cependant j’ai tenu à conserver un certain réalisme, au niveau du rythme d’enquête et des techniques judiciaires employées.
4 – Avez-vous d’autres projets en écriture ?
Oui. Actuellement, je suis en pleine rédaction de mon second roman. Il s’agit à nouveau d’un polar qui se déroule en Suisse-romande, mais cette fois-ci en Valais. On y retrouve par ailleurs certains personnages de « Un lien indélébile ».
/image%2F0535626%2F20201019%2Fob_d7eaa2_a.jpg)
Culture et justice rassemble des informations relatives à l’actualité culturelle sur les questions de justice... mais pas que : Histoires, romans, portraits du jour, salon de livres...
Page indépendante sans but lucratif administrée par Philippe Poisson et Camille Lazare, membres de l'association Criminocorpus.
https://www.facebook.com/pageculturejustice
A propos du site : Criminocorpus propose le premier musée nativement numérique dédié à l’histoire de la justice, des crimes et des peines. Ce musée produit ou accueille des expositions thématiques et des visites de lieux de justice. Ses collections rassemblent une sélection de documents et d’objets constituant des sources particulièrement rares ou peu accessibles pour l’histoire de la justice.
/https%3A%2F%2Fstatic.wixstatic.com%2Fmedia%2F691392_45ef9a9fee984fac832ea3ce8390febc~mv2_d_3286_2480_s_4_2.jpg%2Fv1%2Fcrop%2Fx_1684%2Cy_22%2Cw_1602%2Ch_2458%2Ffill%2Fw_217%2Ch_333%2Cal_c%2Cq_80%2Cusm_0.66_1.00_0.01%2FJaquette_New.jpg)
Polar | Suisse | Tatjana Malik Un lien indélébile
Un lien indélébile est le premier polar de Tatjana Malik, inspectrice à la police cantonale vaudoise. Il s'agit d'une histoire purement fictive, se déroulant en Suisse romande, notamment dans l...
/image%2F0535626%2F20201021%2Fob_193a78_thumbnail-20201021-150612.jpg)
Politique éditoriale de la page "Culture et Justice" - Le blog de Philippe Poisson
Le carnet de recherche de Criminocorpus a été créé en 2008 sur la plateforme Hypotheses avec l'objectif de couvrir l'actualité de la recherche en histoire de la justice. Il s'est progressiveme...
http://portrait-culture-justice.com/2020/10/politique-editoriale-de-la-page-culture-er-justice.html