On ne présente plus James Bond, agent "british" au service secret de sa Majesté, icône pop et glamour, sexy et bagarreur, invariable défenseur de la démocratie occidentale contre des méchants d’opérette prêts à tout pour dominer le monde. Retour sur une saga mêlant l’espionnage, la guerre froide et la pure fantaisie.
Sous son matricule 007, James Bond s’est illustré aux yeux du grand public dans une série de 25 films. 28 si l’on compte les trois versions non officielles qui ont été réalisées. Mais James Bond, c’est avant tout une cash-machine étourdissante : 15 milliards de dollars engrangés entre le premier épisode de la saga, James Bond contre Docteur No et le dernier en date 007 Spectre, en attendant le prochain volet, Mourir peut attendre. Un box-office qui laisse loin derrière d’autres séries à succès comme Star Wars ou Harry Potter.
Mais ce que l’on oublie parfois, c’est que derrière les films, il y a d’abord un auteur de romans, Ian Fleming
AFFAIRES SENSIBLES Vendredi 8 janvier 2021 par Fabrice Drouelle
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On ne présente plus James Bond, agent "british" au service secret de sa Majesté, icône pop et glamour, sexy et bagarreur, invariable défenseur de la démocratie occidentale contre des méchants...
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