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En 2006, après deux ans de profonde dépression, Priscille Deborah se jette sous le métro. Elle a 31 ans, elle est mariée, elle a une fille. Elle survit au prix de ses deux jambes et de son bras droit. Contre toute attente, au lieu de l'anéantir, ce « big-bang » va la métamorphoser. Son handicap, étrangement, la révèle à elle-même et lui permet de trouver enfin sa place dans la vie.
Dans Une vie à inventer, Priscille Deborah retrace le chemin parcouru depuis sa tentative de suicide. Son expérience et ses réflexions s'adressent à tous ceux qui ont connu une « perte » qu'ils pensaient irréparable. Car, grâce à cette terrible épreuve, Priscille Deborah a décidé de réaliser ses rêves : elle est devenue peintre, et sa peinture est reconnue, elle découvre la natation, et pratique plusieurs autres sports de façon quasiment autonome, comme la plongée, le ski et l'équitation. Par ailleurs, elle a refait sa vie et elle forme avec son nouveau mari, la fille qu'ils ont eue ensemble et sa fille aînée, une famille unie.
Celle qui a décidé d'être la première femme bionique de France, et qui le devient en 2020, est la preuve vivante qu'il ne faut jamais désespérer et qu'il est toujours temps d'accomplir ses rêves... et sa vie.
Priscille Deborah, artiste peintre et première femme bionique française, vit près d'Albi dans le Tarn.
- Éditeur : Albin Michel (21 avril 2021)
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Politique éditoriale de la page "Culture et Justice" - Le blog de Philippe Poisson
Le carnet de recherche de Criminocorpus a été créé en 2008 sur la plateforme Hypotheses avec l'objectif de couvrir l'actualité de la recherche en histoire de la justice. Il s'est progressiveme...
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