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Le sentier des âmes, c'est celui qu'emprunte Térence, peintre paysagiste dans l'armée de Napoléon, sur les pentes du massif du Mont-Blanc, jusqu'à un hameau menacé par un gigantesque glacier, où il découvrira l'amour et la solidarité humaine face à une nature implacable.
Au pied du massif du Mont-Blanc, au moulin d'Entrève, la grande roue s'est arrêtée, l'eau du torrent ne coule plus. Le fils du meunier, Térence, cartographe et peintre paysagiste dans l'armée de Napoléon, promet à son père sur son lit de mort d'en découvrir la raison. Pour remonter à la source, il part à l'assaut de la montagne. Au terme d'une ascension semée d'épreuves, il accède enfin à un hameau menacé par la progression d'un glacier gigantesque. C'est là qu'il perce le secret de la malédiction d'Entrève et rencontre l'amour...
Roman initiatique, formidable épopée humaine, Le Sentier des âmes est aussi une ode à la nature implacable et fascinante.
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Jean-Guy Soumy est né en 1952, dans la Creuse. Après des études de mathématiques, il a enseigné à l’Ecole Normale puis à l’I.U.F.M. du Limousin. Membre de l’Ecole de Brive, il a obtenu le Prix des Libraires en 1998 pour La Belle Rochelaise ainsi que le Prix Arverne 2022 pour Le Regard de Jeanne.
Après la trilogie Les Moissons délaissées, il a publié plus d'une vingtaine de romans sur des sujets et dans des genres très différents (romans historiques, psychologiques et régionaux). La condition féminine, l’émancipation des êtres, l’Histoire éclairant le temps présent, le voyage sont des thèmes au coeur de ses romans. Se considèrant avant tout comme un romancier populaire, il est l'auteur de Le Voyageur des Bois d'en Haut.
Crédit photo : ©Georges Patrick Gleize@DR
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Clarisse Enaudeau - "Mon parcours ne me destinait pas a priori à l’édition. Diplômée de l’Ecole du Louvre, les métiers de la conservation semblaient être une finalité et puis, non, la vie et ses contingences ont fait qu’après quelques années passées dans une galerie d’art parisienne à tirer le diable par la queue, je suis revenue à mes anciennes amours : le livre et la littérature. J’y suis entrée par la petite porte, de CDD en CDI en librairies, l’opportunité de devenir commerciale pour une maison d’édition de province et au fil du temps, des attributions qui s’enchaînent : responsable grands comptes, responsable de cessions, relations avec les clubs tels France Loisirs et à la fin, l’évidence… Après les lecteurs, les libraires, les auteurs se sont imposés à moi avec cette envie de partager, d’échanger, d’aider à créer, d’être une accoucheuse d’esprit.
Le lien, l’affect sont pour moi les axes majeurs de ce travail ; si vous n’aimez pas les gens, leurs petites joies mais aussi leurs turpitudes, si vous ne savez pas écouter, comprendre et parfois être critique, alors ce métier n’est pas fait pour vous.
Ensuite, aimer les lecteurs de tous acabits, respecter les goûts et les inclinaisons de chacun, offrir à chaque lecteur le roman qui saura le toucher, le passionner.
Je dirige une collection, Terres de France qui se veut et qui revendique d’être une collection de littérature populaire. Qui dit littérature populaire ne veut pas dire sous-littérature. L’édition française est friande de catégories, de genres alors oui, nous éditons de la belle et bonne littérature populaire. Littérature « terroir », littérature régionale… Peu importe pourvu que nos lecteurs soient au rendez-vous. L’on parle pas ou peu de nos auteurs dans la presse nationale dite germanopratine mais nos lecteurs sont fidèles et j’aime à dire qu’ils sont la majorité silencieuse.
Être éditeur, c’est aussi penser à celui qui est au bout de la chaîne, le lecteur. Donner à lire sous toutes ses formes est essentiel aujourd’hui à l’ère de l’immédiateté. Notre plus grand défi à relever : celui de se mesurer à l’image, à l’instantanéité.
S’emparer d’un livre, prendre le temps, ce temps pour soi, d’être tout à sa lecture n’est pas chose aisée… Éditeur, c’est donc aussi une « mission », celle de donner à tous l’envie de lire quelque soit le milieu social, professionnel, les habitudes et parfois les a priori.
Mais pour résumer, le plus grand bonheur d’un éditeur est encore une fois cette relation si particulière que l’on tisse année après année, roman après roman avec ses auteurs … Une relation étrange, complexe faite d’amitié, de confiance, de conflits aussi mais d’où l’on sort forcément grandi et différent à chaque nouvelle histoire, à chaque nouvelle rencontre avec un texte…" Clarisse Enaudeau, directrice littéraire des Presses de la Cité
- Date de parution
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01/09/2022
- Editeur
- Collection
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Politique éditoriale de la page "Culture et justice" au 24 mai 2022 - Le blog de Philippe Poisson
Le carnet de recherche de Criminocorpus a été créé en 2008 sur la plateforme Hypotheses avec l'objectif de couvrir l'actualité de la recherche en histoire de la justice. Il s'est progressiveme...