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Nicolas Le Floch. La larme de Varsovie

VENDREDI 3 DECEMBRE 2010
france2, 20h35 - 22h10

Type : série


http://media.paperblog.fr/i/310/3106450/nicolas-floch-tournage-L-1.jpegTroisième saison télévisée des aventures du policier coiffé d’un tricorne, Nicolas Le Floch, se déroulant au XVIIIe siècle. Elles sont, cette fois, librement adaptées de l’œuvre de l’écrivain Jean-François Parot. Une perle de grande valeur, la « larme de Varsovie », a été remise par le roi de Pologne à la reine de France. La légende prétend que si ce joyau venait à mourir, une terrible malédiction s’abattrait sur la monarchie. Louis XV confie donc la perle au mystérieux Comte de Saint-Germain, alchimiste reconnu et chevalier de la Rose-Croix. Mais celle-ci est volée. L’enquête de Nicolas Le Floch s’avère vite périlleuse. Derrière la disparition du bijou, se dissimule une conspiration fomentée par le Chevalier d’Aumont de l’ordre du Temple. Les amateurs retrouveront avec plaisir leur héros dans cet épisode tourné à Senlis.

http://www.historia.fr/content/television/article?id=30554

 

 

Nicolas Le Floch revient sur les lieux du crime
http://www.toutelatele.com/IMG/arton20338.jpgSenlis sert encore de décor naturel à un nouvel épisode de la série de France Télévisions. Cent vingt personnes sont sur place.

13.04.2010 - Le plus célèbre flic en costume, après Vidocq, est de retour sur les pavés de Senlis. Portant le catogan et la chemise à jabot, Nicolas Le Floch, campé par l'acteur Jérôme Robart, est prêt à élucider une nouvelle énigme au cœur du XVIIIe siècle. Pour la troisième fois, la Compagnie des phares et balises s'est glissée dans le décor naturel du vieux Senlis. La production de ce téléfilm à succès (5 millions de téléspectateurs dès la première saison) retrouve avec délice la cité royale : « En France, nous n'avons le choix qu'entre Senlis, Le Mans et Sarlat », précise Jean Labib, producteur pour la Compagnie des phares et balises. Senlis présente l'avantage d'être à moins de cinquante kilomètres de Paris. Au-delà, les techniciens sont défrayés. 120 acteurs, techniciens et figurants C'est une véritable armée qui débarque dans Senlis à chaque épisode. Hier, cent vingt acteurs, techniciens et figurants avaient bouclé le secteur de l'église Saint-Pierre, le parvis de la cathédrale et la rue du Châtel. De 16 heures à 1 heure du matin, silence, on tourne. Cette fois, le séduisant Nicolas Le Floch est sur les traces de la Larme de Varsovie, qui donne son nom au nouvel épisode de la saison 3. Cette larme est une perle remise par le roi de Pologne à la reine de France. Si la perle venait à mourir, une terrible malédiction s'abattrait sur la monarchie. Et justement, la perle est volée. Nicolas Le Floch part aux trousses du sulfureux comte de Saint-Germain. Derrière ce vol se dissimule une redoutable conspiration d'un chevalier de l'ordre du Temple. Comme toujours dans cette saga épique, la grande histoire se mêle à la fiction. Le Floch progresse à travers les premiers pas de la police scientifique et assiste aux premiers frémissements de la Révolution française. « Hugues Pagan, le scénariste, a inventé un nouveau langage à mi-chemin entre la langue du XVIIIe et la nôtre. Cela donne une touche d'exotisme à la série », confie Jean Labib. Les téléspectateurs inondés de séries américaines ont plébiscité ce flic singulier coiffé d'un tricorne. « Les Français adorent les films en costumes. Ils sont abreuvés de productions à caractère sociétal ou de séries contemporaines. Avec Le Floch, ils s'échappent. » Chaque retour de Nicolas Le Floch coûte son pesant d'or. France Télévisions coproduit ses aventures, car il faut réunir 4,9 M€ pour boucler le budget de deux épisodes. « Les locations de châteaux, les costumes, les chevaux, et six cents journées de figuration. C'est très lourd financièrement », indique Jean Labib. Ces deux nouveaux épisodes (« la Larme de Varsovie » et « le Grand Veneur »), qui seront diffusés en novembre-décembre sur France 2, sont « les deux premières histoires originales, librement inspirées de l'œuvre de Jean-François Parot », précise Ariane Gardel, la directrice littéraire. Poussé par le succès populaire, Nicolas Le Floch s'est émancipé de son créateur. Un peu comme James Bond avec Ian Fleming.

 

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/oise-60/nicolas-le-floch-revient-sur-les-lieux-du-crime-13-04-2010-884029.php

Cet article a été publié dans la rubrique Oise

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