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Dessin baroque avec le glaive, provient du site d’images gratuites « Pixabay",
image modifiée par Annabel des éditions Gaelis
Nouveau portrait du jour : Françoise Deville
Culture et justice développe la rubrique Portrait du jour, ouvre ses pages aux fidèles lecteurs de la page et reçoit avec infiniment de plaisir Françoise Deville
Passionnée d’histoire napoléonienne, en particulier de Joséphine, Françoise Deville est titulaire d’une maîtrise en Histoire de l’Université de Genève (1996). Collectionneuse avisée des objets qui concernent principalement Bonaparte et Joséphine, elle a publié divers articles historiques. Elle signe ici son premier ouvrage.
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L'interview est réaliséé par notre amie Valérie Valeix
La culture revêt diverses formes. Les collections d’objets, qui plus est à caractère historique en font partie intrinsèque. Mais quand une collectionneuse se double d’une auteure, c’est un honneur pour l’Abeille Criminelle - Valérie Valeix - de la passer sur le grill de Culture et Justice.
Bienvenue à Françoise Deville, passionnée par l’Impératrice Joséphine.
Bonjour Françoise, comment êtes-vous devenue collectionneuse de l’Impératrice Joséphine ? Évoquez votre parcours.
Dès l'âge de 8 ans, j'ai été passionnée par Joséphine après avoir vu la série Joséphine ou la Comédie de l'ambition avec une Danièle Lebrun inoubliable. Puis j'ai entrepris des études d'Histoire à l'Université de Genève.
Quel a été votre premier objet acheté la concernant ?
Une lettre d'elle
Quel est celui qui vous a le plus ému ?
La lettre d'amour acquise en décembre 2017: « Je n'ai pas passé un jour sans t'aimer, je n'ai pas passer une nuit sans te serrer dans mes bras »
Votre passion pour Joséphine vous a-t-elle poussée à chercher à entrer en communication avec elle ?
Oui à de nombreuses reprises. Je lui parle tous les jours et elle répond positivement à mes demandes.
Comment vous est venu l’idée d’écrire l’histoire de ceux qui sont passés par le château de la Malmaison et en particulier Joséphine, à la première personne comme si c’était le château lui-même qui prenait la parole ou la plume ?
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« Moi, la Malmaison, l’amie intime de Joséphine » Françoise Deville préface David Chanteranne (directeur de la revue Napoléon 1er, aux éditions de La Bisquine.
Je voulais que ce soit elle qui parle au travers de Malmaison. Je voulais que l'émotion passe au travers de ce livre pour que Joséphine se livre à nu et pour faire découvrir quelle femme formidable elle était.
Avez-vous d’autres projets d’écriture ?
Oui j'écris sur la fin de la monarchie par le biais de la désacralisation de la fonction royale notamment au travers de 3 femmes Marie-Antoinette, la Pompadour et la Du Barry par le biais du Petit Trianon.
Affectionnez-vous d’autres personnages historiques ?
Oui beaucoup, notamment Aliénor d'Aquitaine
Faites-vous des expositions avec vos collections ?
Oui la Maison Chaumet exposera certains de mes objets lors de son exposition prévue au printemps 2021
Donnez-vous des conférences ?
Il m’arrive d’en donner.
Votre passion est-elle partagée par vos proches ?
Non.
Espérez-vous encore dénicher un objet rare de Joséphine ?
Je viens d'acquérir à l'instant le portrait de Joséphine par Firmin Massot que j'attendais depuis des années.
Quelle valeur est à vos yeux la plus importante ?
La fidélité.
Merci Françoise Deville pour ce partage de votre passion.
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Moi, la Malmaison, l'amie intime de Joséphine de Françoise Deville
Article sur site Histoire et secrets : * François Kasbi dans Valeurs actuelles du 19 juillet a résumé en très peu de mots le coeur du sujet du livre de Françoise Deville, son intérêt et son ...
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Politique éditoriale de la page "Culture et Justice" - Le blog de Philippe Poisson
Le carnet de recherche de Criminocorpus a été créé en 2008 sur la plateforme Hypotheses avec l'objectif de couvrir l'actualité de la recherche en histoire de la justice. Il s'est progressiveme...
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