Portrait du jour : Maggy Forestier . Premier roman "Une mère à Boire"

Dessin baroque avec le glaive, provient du site d’images gratuites « Pixabay",

image modifiée par Annabel des éditions Gaelis

Nouveau portrait du jour :  Maggy Forestier auteur du roman "Une mère à Boire"

Culture et justice développe la rubrique Portrait du jour, ouvre ses pages aux fidèles lecteurs de la page et reçoit avec infiniment de plaisir Maggy Forestier

COMMUNIQUÉ

INTERVIEW PRESSE Maggy Forestier Paris, le 08 février 2021

auteur du Roman "Une mère à Boire"

PUBLIÉ PAR LES ÉDITIONS SPINELLE

UN ROMAN À VISÉE INITIATIQUE de l'OMBRE À LA LUMIÈRE

QUEL EST VOTRE PARCOURS ?

J'ai commencé à écrire très tôt, dès dix ans, par la tenue d'un journal intime. Dans notre famille, les échanges étaient bloqués depuis le début, c'était donc mon seul mode d'expression. La communication a été le pivot de mon existence : ouvrir les portes, exprimer ses émotions, ses peurs, aider les autres à identifier leurs sentiments aussi. D'abord dans le secteur médical, puis dans le management d'équipes et enfin dans l'exercice de mes fonctions de thérapeute. J'ai un passé d'autodidacte, comprendre et apprendre sont toujours mes moteurs.

VENONS-EN AU FAIT, QU’ÉCRIVEZ-VOUS ?

J'écris sur ce qui me touche : les liens entre les personnes, les rêves, les projets, l'altruisme, l'amour, l'engagement, la remise en question, la psychologie, le développement personnel, les neurosciences, la spiritualité, l'Humanité qui se cherche et se trouve parfois. Le voyage dans le temps, aussi, me passionne. Je suis persuadée que nous ne sommes qu'à l'ère préhistorique concernant ce sujet !

"Une mère à boire" EST VOTRE PREMIER ROMAN, QUEL EN EST LE THEME ?

Ce livre s'est imposé à moi à une période de ma vie très compliquée où j'ai ressenti un besoin impérieux d'y voir clair et de me replonger dans un passé douloureux, ce que j'avais toujours évité de faire jusqu'alors. Il est des circonstances qui vous obligent à faire face. L'écriture a été douloureuse mais salvatrice, comme une thérapie en solitaire. Je savais ce que je devais finir de travailler en moi et un jour je n'ai plus eu le choix. Le thème est un parcours chaotique jusqu'à une prise de conscience qui m'a jetée dans le développement personnel et a totalement modifié ma vision du monde. La spiritualité est venue après.

QUELLES SONT LES PARTICULARITÉS DE VOS ROMANS ?

Écrire selon moi doit être porteur de sens. Le déroulé d'un roman doit fatalement bousculer un peu le lecteur, le faire réagir, amener une prise de conscience sur sa propre vie et faire naître des émotions positives, éclairer le chemin que nous avons à emprunter dans nos existences et les leçons à apprendre. J'emploie des mots forts, je décris parfois crûment des situations qui percutent pour que le lecteur se pose des questions... mais lui laisse le soin d'apporter ses propres réponses. Finalement, mon objectif est de suggérer qu'il existe toujours des solutions, quels que soient les problèmes ! En fait, j'écris surtout sur l'espoir...

ET VOS PROJETS ?

Continuer d'écrire, d'abord parce que je ne sais pas dessiner... rire, et que le Tome 2, suite du roman "Une Mère à Boire", est déjà rédigé à moitié. J'en ignore encore la fin, c'est le récit qui me porte, les idées fusent la nuit, ce sont mes rêves qui décident, moi je suis que l’exécutante ! Mon prochain rêve ? Une adaptation d'un de mes romans au cinéma. Confucius disait qu'une image valait mille mots, cela me laisse une formidable marge de manœuvre pour transmettre les messages que je souhaite exprimer, non ?

L'ouvrage "Une Mère à Boire" de Maggy Forestier, publié par les Éditions Spinelle (Paris) est sorti le 3 février 2021,

En format papier et numérique.

Découvrez les extraits sur son blog : maggy-forestier.over-blog.com