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Mariette Lesieur poétesse et fondatrice des Editions Roses de France. (Par Robert Daragnès).
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Nouveau portrait du jour Mariette Lesieur
Culture et justice développe la rubrique Portrait du jour, ouvre ses pages aux fidèles lecteurs et reçoit avec infiniment de plaisir Mariette Lesieur
Mariette Lesieur née à Béthune (62) en 1979, dès l’âge de 15 ans, primée par l'Académie des Sciences Lettres et Arts d'Arras, par la société anacréontique des ROSATI et par la Fédération nationale (TEC/CRIAC) pour ses poèmes, publie dans les journaux régionaux, dans un journal national parisien LE VILAIN PETIT CANARD et participe aux émissions de Ronny Coutteure sur FRANCE 3. Licenciée ès Lettres, fleuriste de profession, auteur à la SACEM, elle devient rédactrice au magazine Vent d’Oc, fait rayonner la ville d’Oloron Sainte Marie dans le domaine de la culture et crée une maison d’édition. Auteur d’un binôme poétique « Ginkgo Biloba » sur le thème de l'éternel recommencement, elle remporte un « Prix des remparts » 2018 à Navarrenx. Sorti en 2020 de son troisième ouvrage "Hippocrène" lors du premier confinement.
Bienvenue Mariette sur le très discret et prisé Culture et justice
"Femme de lettre française, Mariette est devenue une référence incontournable des rayons poésie de vos libraires. Ce sont ses deux ouvrages « Ginkgo Biloba – Premier Loba – Fin d’un monde ancien » et « Ginkgo Biloba – Deuxième
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Loba – Début d’un nouveau monde », un binôme poétique publié presque simultanément en 2016 et 2017, qui révèleront cette auteure au grand public créant autour d’elle une effervescence et un nouvel engouement pour ce genre qu’elle dit en véritable renaissance dans un monde où seule la pensée rend libre.
Qu’est ce qui a provoqué la suscitation autour de ce petit oiseau au corps si fragile, à la timidité débordante aux mains tremblantes pour ainsi faire parler les journalistes avec force et fracas de son binôme comme d’une œuvre déchirée écrit à coups de griffes sur des pages ensanglantées d’angoisse et de désir, d’horreur désenchantée et d’amour, vénérant au travers d’éléments réels un Dieu universel palpable ? Est-ce l’écrivaine elle-même ou sa poésie ? Les deux semblent tellement indissociables. Mariette pour sûr est une sorte de créature chimérique mi-femme mi-poète proche des satyres Baudelairiens qui n’ayant pas peur de peindre la mort, la guerre, la pourriture, la décadence laisse naître sous sa plume les cris d’un existentialisme frénétique et beau d’espoir.
Destruction/reconstruction dans le cercle infini de l’éternel recommencement de son binôme poétique, sous les branches de cet arbre symbolique qu’est le ginkgo biloba, Mariette signe là son chef d’œuvre.
Ses premiers poèmes écrits à l’âge de 15 ans, primés par l’Académie des Sciences, Lettres et Arts d’Arras, par la société anacréontique des ROSATI lors de son concours francophone et par la Fédération Nationale Travail et Culture du Centre de Recherche d’Innovation Artistique et Culturelle du monde du travail (TEC/CRIAC) n’étaient que de jeunes braises poétiques qui laissaient prévoir l’incendie littéraire 20 ans plus tard.
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Son dernier recueil « Hippocrène » ne laisse pas sur la soif. Ce recueil publié en 2020, dont la sortie a été repoussée à 2021, laisse passer les vagues sanitaires successives enfreignant la Culture pour permettre à Mariette de rebondir sur le dos du cheval emblématique des poètes « Pégase ». Ce recueil bref et pictural semble un rappel à l’ordre de l’auteure à l’élévation spirituelle. On quitte ainsi les temps incertains, le temps des métamorphoses et des métempsychoses pour se réaliser. Restons respectables, ignorons l’ingratitude et chevauchons bien au-delà de notre bassesse humaine dans le but d’en recevoir les honneurs. Ce cheval emblématique lié de par ses sabots à la terre mais ailé et promis à d’autres sphères ne manquera pas de vous emporter.
Ce dernier recueil semble faire partie d’une collection qui petit à petit prend naissance. Chaque recueil de la poétesse forme petit à petit le puzzle d’une œuvre bien plus vaste. Le bleu, le vert, le rouge, qu’elle sera la prochaine couleur du quatrième ouvrage qui commence à gronder dans les sous-sols de ces forges poétiques aux allures vulcaniennes ?"
Editeur : Les Editions Roses de France
« Ginkgo Biloba – Premier Loba – Fin d’un monde ancien » ISBN 978-2-9558554-0-9 (br.) : 11,90 EUR
« Ginkgo Biloba – Deuxième Loba – Début d’un nouveau monde » ISBN 978-2-9558554-1-6 (br.) : 11,90 EUR
« Hippocrène » ISBN 978-2-9558554-2-3 (br.) : 10 EUR
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A propos du site : Musée - Histoire de la justice, des crimes et des peines | Criminocorpus propose le premier musée nativement numérique dédié à l’histoire de la justice, des crimes et des peines. Ce musée produit ou accueille des expositions thématiques et des visites de lieux de justice. Ses collections rassemblent une sélection de documents et d’objets constituant des sources particulièrement rares ou peu accessibles pour l’histoire de la justice."