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Dans les Cévennes, au milieu du XIXe siècle, le récit d’une belle amitié entre deux familles liées par le travail de la mine, faisant fi de leurs différences d’origine. 
En 1830, les Théraube habitent le mas du Joncas, accroché à la montagne cévenole. Sur cette terre ingrate, la vigne et la châtaigneraie donnent peu. Pour un avenir meilleur, le jeune Émile part travailler à la Compagnie des Mines. « En dessous », l’adolescent découvre l’uni - vers et la fraternité des « gueules noires ». Car, victime d’un éboulement, il est sauvé par un mineur piémontais, Pépino Maggiore. C’est le début d’une amitié entre deux familles liées par le travail de la mine. Mais les villageois voient d’un mauvais œil ce rapproche - ment entre gens du pays et étrangers… d’autant que le frère d’Émile tombe amoureux de la fille de Pépino. Une belle histoire humaine sur un thème patrimonial passionnant : les mines dans les Cévennes.

Mireille Pluchard est une vraie cévenole et vit à Alès depuis toujours. Après s’être consacrée à l’éducation de ses enfants, elle prend la plume encouragée par ses proches.

Mue par une passion pour l’Histoire et la généalogie, Mireille Pluchard se définit volontiers comme une souris d’archives. Ses recherches se veulent les fondations de chacun de ses romans car elle n'aime pas « construire sur le sable ».

Sa terre natale reste la première source d’inspiration de ses sagas, elle est l'auteure de plus d'une vingtaine de romans dont  Les Dames de la Glycine, Prix Lucien Gachon 2021, De soie et de cendres et Le Choix de Diane. Elle s'impose désormais comme une auteure majeure de la collection Terres de France et e reçu le Prix du Cabri d'Or 2021 pour l'ensemble de son oeuvre. Crédit photo : ©DR

Collection : Terres de France

Date de parution : 03/03/2022

 

"Je dirige une collection, Terres de France qui se veut et qui revendique d’être une collection de littérature populaire. Qui dit littérature populaire ne veut pas dire sous-littérature. L’édition française est friande de catégories, de genres alors oui, nous éditons de la belle et bonne littérature populaire. Littérature « terroir », littérature régionale… Peu importe pourvu que nos lecteurs soient au rendez-vous. L’on parle pas ou peu de nos auteurs dans la presse nationale dite germanopratine mais nos lecteurs sont fidèles et j’aime à dire qu’ils sont la majorité silencieuse.

Être éditeur, c’est aussi penser à celui qui est au bout de la chaîne, le lecteur. Donner à lire sous toutes ses formes est essentiel aujourd’hui à l’ère de l’immédiateté. Notre plus grand défi à relever : celui de se mesurer à l’image, à l’instantanéité.

S’emparer d’un livre, prendre le temps, ce temps pour soi, d’être tout à sa lecture n’est pas chose aisée… Éditeur, c’est donc aussi une « mission », celle de donner à tous l’envie de lire quelque soit le milieu social, professionnel, les habitudes et parfois les a priori.

Mais pour résumer, le plus grand bonheur d’un éditeur est encore une fois cette relation si particulière que l’on tisse année après année, roman après roman avec ses auteurs … Une relation étrange, complexe faite d’amitié, de confiance, de conflits aussi mais d’où l’on sort forcément grandi et différent à chaque nouvelle histoire, à chaque nouvelle rencontre avec un texte…" Clarisse Enaudeau, directrice littéraire des Presses de la Cité"

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Tag(s) : #Romans - Essais - Polars - Thrillers
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