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Biarritz, la perle de l’océan. De 1920 à 1925 émerge une jeunesse cosmopolite artiste et pleine de talent. Parmi elle, Valentine, importatrice de thé. Un roman choral entre chassés-croisés et ambition professionnelle.

1921. À Biarritz, ville prisée des riches vacanciers, les Années folles peuvent commencer ! Connue dans le monde entier, la station balnéaire brille de tous ses feux. À vingt-quatre ans, Valentine, déjà veuve, a hérité de son époux Sergueï une entreprise d’importation de thé. Plusieurs fois par an, elle séjourne chez sa grand-mère sur la côte basque où se perpétuent les rites et les coutumes d’une population russe exilée, dont fait partie le compositeur Igor Stravinsky.Une jeunesse pleine de talent tourbillonne autour de Valentine. Désormais libre, son cœur sera tiraillé entre le charismatique Georges, héros de l’escadrille 66, aventurier dans l’âme, et le sensible Henri, médecin en charge d’un service à l’hôpital des Enfants malades à Paris…

Petite-nièce de Jean Cocteau, Dominique Marny lui a consacré de nombreux ouvrages dont Jean Cocteau, le magnifique et Les Belles de Cocteau. Elle est co-commissaire d'expositions avec de grands musées français. Auteure d'albums consacrés au sentiment amoureux dont L'Amour fou à Paris, Omnibus 2018, c'est aussi une grande voyageuse et s’est inspirée de ses séjours en Egypte avec Les Nuits du Caire, en Inde avec Du Côté de Bombay ou au Maroc avec Cap Malabata. Elle est l'auteure de près d'une vingtaine de romans aux Presses de la Cité. (Crédit photo : ©Sandrine Cellard)

 

Collection : Terres de France

Date de parution : 28/04/2022

 

 

"Je dirige une collection, Terres de France qui se veut et qui revendique d’être une collection de littérature populaire. Qui dit littérature populaire ne veut pas dire sous-littérature. L’édition française est friande de catégories, de genres alors oui, nous éditons de la belle et bonne littérature populaire. Littérature « terroir », littérature régionale… Peu importe pourvu que nos lecteurs soient au rendez-vous. L’on parle pas ou peu de nos auteurs dans la presse nationale dite germanopratine mais nos lecteurs sont fidèles et j’aime à dire qu’ils sont la majorité silencieuse.

Être éditeur, c’est aussi penser à celui qui est au bout de la chaîne, le lecteur. Donner à lire sous toutes ses formes est essentiel aujourd’hui à l’ère de l’immédiateté. Notre plus grand défi à relever : celui de se mesurer à l’image, à l’instantanéité.

S’emparer d’un livre, prendre le temps, ce temps pour soi, d’être tout à sa lecture n’est pas chose aisée… Éditeur, c’est donc aussi une « mission », celle de donner à tous l’envie de lire quelque soit le milieu social, professionnel, les habitudes et parfois les a priori.

Mais pour résumer, le plus grand bonheur d’un éditeur est encore une fois cette relation si particulière que l’on tisse année après année, roman après roman avec ses auteurs … Une relation étrange, complexe faite d’amitié, de confiance, de conflits aussi mais d’où l’on sort forcément grandi et différent à chaque nouvelle histoire, à chaque nouvelle rencontre avec un texte…" Clarisse Enaudeau, directrice littéraire des Presses de la Cité"

Tag(s) : #Romans - Essais - Polars - Thrillers
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