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Le temps d’un été, Max et Jacquotte accueillent leurs petits-enfants, des presque inconnus. Trop de non-dits, un secret, les ont éloignés. L’amour patient d’une grand-mère, le passé enfin pardonné et une passion partagée pour la peinture sauront-ils renouer les liens distendus d’une famille?
Eté 1986. Fanny et Nans doivent passer un mois de vacances improvisées à L’Isle-sur-la-Sorgue chez leurs grands-parents, Jacquotte et Max. Les enfants les connaissent à peine car leur mère s’est éloignée de ses parents depuis longtemps, en particulier de son père. Si la généreuse Jacquotte veut donner le meilleur d’elle-même, elle use les petits par son énergie ; Max, lui, est distant, taiseux. Seul l’oncle Christophe égaye leurs journées en les emmenant voguer sur sa barque provençale.
Un jour, les enfants font une découverte qui va tout changer : dans un placard interdit, un magnifique portrait peint signé Max. Nans, passionné de dessin, va vouloir se rapprocher de ce grand-père artiste. Mais pour décadenasser son cœur, celui-ci acceptera-t-il de s’ouvrir et de révéler ses secrets, qui ont bouleversé la vie des siens ?
Solaire et généreux, un roman sur la force des liens familiaux à l’épreuve du passé.
Collection : Terres de France
Date de parution : 09/06/2022
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Passionnée de peinture et d’écriture, Dany Rousson vit dans un village proche d'Uzès, dans le Gard. Très attachée à sa région, tous ses romans s’attachent à décrire paysages et personnages avec chaleur et authenticité.
Son premier roman Les Genêts de Saint-Antonin, paru en 2014, a remporté le prix Coup de cœur des lectrices Femme Actuelle. Elle publie depuis aux Presses de la Cité des romans contemporains qui fleurent bon le Sud et s'impose désormais comme une auteure incontournable dans sa région.
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Clarisse Enaudeau - "Mon parcours ne me destinait pas a priori à l’édition. Diplômée de l’Ecole du Louvre, les métiers de la conservation semblaient être une finalité et puis, non, la vie et ses contingences ont fait qu’après quelques années passées dans une galerie d’art parisienne à tirer le diable par la queue, je suis revenue à mes anciennes amours : le livre et la littérature. J’y suis entrée par la petite porte, de CDD en CDI en librairies, l’opportunité de devenir commerciale pour une maison d’édition de province et au fil du temps, des attributions qui s’enchaînent : responsable grands comptes, responsable de cessions, relations avec les clubs tels France Loisirs et à la fin, l’évidence… Après les lecteurs, les libraires, les auteurs se sont imposés à moi avec cette envie de partager, d’échanger, d’aider à créer, d’être une accoucheuse d’esprit.
Le lien, l’affect sont pour moi les axes majeurs de ce travail ; si vous n’aimez pas les gens, leurs petites joies mais aussi leurs turpitudes, si vous ne savez pas écouter, comprendre et parfois être critique, alors ce métier n’est pas fait pour vous.
Ensuite, aimer les lecteurs de tous acabits, respecter les goûts et les inclinaisons de chacun, offrir à chaque lecteur le roman qui saura le toucher, le passionner.
Je dirige une collection, Terres de France qui se veut et qui revendique d’être une collection de littérature populaire. Qui dit littérature populaire ne veut pas dire sous-littérature. L’édition française est friande de catégories, de genres alors oui, nous éditons de la belle et bonne littérature populaire. Littérature « terroir », littérature régionale… Peu importe pourvu que nos lecteurs soient au rendez-vous. L’on parle pas ou peu de nos auteurs dans la presse nationale dite germanopratine mais nos lecteurs sont fidèles et j’aime à dire qu’ils sont la majorité silencieuse.
Être éditeur, c’est aussi penser à celui qui est au bout de la chaîne, le lecteur. Donner à lire sous toutes ses formes est essentiel aujourd’hui à l’ère de l’immédiateté. Notre plus grand défi à relever : celui de se mesurer à l’image, à l’instantanéité.
S’emparer d’un livre, prendre le temps, ce temps pour soi, d’être tout à sa lecture n’est pas chose aisée… Éditeur, c’est donc aussi une « mission », celle de donner à tous l’envie de lire quelque soit le milieu social, professionnel, les habitudes et parfois les a priori.
Mais pour résumer, le plus grand bonheur d’un éditeur est encore une fois cette relation si particulière que l’on tisse année après année, roman après roman avec ses auteurs … Une relation étrange, complexe faite d’amitié, de confiance, de conflits aussi mais d’où l’on sort forcément grandi et différent à chaque nouvelle histoire, à chaque nouvelle rencontre avec un texte…" Clarisse Enaudeau, directrice littéraire des Presses de la Cité
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Dany Rousson : sa biographie, son actualité, ses livres | Lisez!
Crédit photo:©Lisa Sanchez Passionnée de peinture et d'écriture, Dany Rousson vit dans un village proche d'Uzès, dans le Gard. Très attachée à sa région, tous ses romans s'attachent à dé...
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Politique éditoriale de la page "Culture et justice" au 19 mars 2022 - Le blog de Philippe Poisson
Le carnet de recherche de Criminocorpus a été créé en 2008 sur la plateforme Hypotheses avec l'objectif de couvrir l'actualité de la recherche en histoire de la justice. Il s'est progressiveme...