L’affaire Kalinka, c’est le récit d’une lutte, celle menée par un homme qui ne plie pas. Aujourd’hui dans Affaires sensibles : André Bamberski, un père éperdu.
On peut s’effondrer, après la mort d’un enfant, maudire son meurtrier, se réfugier dans le chagrin, et subir le long cours de la justice. L’affaire Kalinka, c’est au contraire le récit d’une lutte, celle menée par un homme qui ne plie pas, qui ne se brise pas, qui va jusqu’au bout de la promesse faite devant la tombe de sa fille : obtenir justice.
En 1982, Kalinka Bamberski, 14 ans, meurt chez son beau-père, un médecin allemand. Malgré les doutes, les soupçons, les expertises, la justice allemande classe l’affaire.
Pendant près de 30 ans, André Bambersk i va aller au-delà de lui-même, il va s’oublier pour que Kalinka ne le soit pas
Car il a fallu 30 ans à cet homme ordinaire pour gagner un combat extraordinaire : faire juger le meurtrier de sa fille, malgré les freins, les blocages, les entraves placées sur sa route par les justices françaises et allemandes.
Il a fallu 30 ans et un acte illégal pour qu’André Bamberski parvienne à ses fins : s’il n’avait pas commandité l’enlèvement de Dieter Krombach, jamais celui-ci n’aurait été jugé par la justice française, jamais il ne serait allé en prison pour avoir tué Kalinka.
Un récit documentaire de Franck Cognard
Invité : Me Laurent de Caunes, avocat d’André Bamberski...
André Bamberski, un père éperdu
L'affaire Kalinka, c'est le récit d'une lutte, celle menée par un homme qui ne plie pas. Aujourd'hui dans Affaires sensibles : André Bamberski, un père éperdu.