Comment vivaient au quotidien les hommes des maquis et ceux des réseaux clandestins ? Comment étaient-ils nourris,
armés, équipés, secourus ? Comment leurs familles pouvaient-elles survivre, laissées à elles-mêmes ? Avec quels moyens pouvait-on imprimer et diffuser les tracts, la presse et les livres
interdits ? De quels fonds disposait-on pour soudoyer tel agent du pouvoir, tel fonctionnaire, tel allié occasionnel ? Peu à peu, au cours de la guerre, la résistance s'est professionnalisée,
développée, structurée.
Elle a dû faire appel à des fonds de plus en plus importants. Ces fonds, d'où venaient-ils ? Comment ont-ils été utilisés et contrôlés ? À la Libération, les comptes étaient-ils bien clairs ? À
partir des archives de la France libre, de celles du ministère des Finances et de la banque de France, ainsi que de nombreux documents privés, c'est un pan totalement négligé de l'histoire de la
France combattante qui apparaît ici en pleine lumière.
Jean-Marc Binot , Bernard Boyer
Broché
Paru le : 13/01/2010
Éditeur : Larousse
Collection : A rebours
L'auteur en quelques mots ...
Jean-Marc Binot est journaliste.
Bernard Boyer est le fils d'André Boyer, chef du réseau clandestin Brutus. Ensemble, ils ont publié Nom de code Brutus,
histoire d'un réseau de la France Libre (2007).
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Jean-Marc Binot , Bernard Boyer
Broché
Paru le : 11/04/2007
Éditeur : Fayard
Les enjeux financiers de la lutte clandestine
[mercredi 05 mai 2010 – 12:00]
http://www.nonfiction.fr/article-3382-les_enjeux_financiers_de_la_lutte_clandestine.htm