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http://www.notrecinema.com/images/cache/les-indomptables-de-colditz-affiche_100409_20625.jpgLes Indomptables de Colditz : .... D'après le roman "The Colditz Story : The Latter Days" de PR REID ( Adaptation de Guy Hamilton ) .... Dès 1940, les officiers alliés prisonniers de guerre évadés et repris sont tous envoyés en Saxe, dans la forteresse de Colditz, réputée pour empêcher toute récidive. Pat Reid et Mac MacGill, qui viennent d'arriver, y font la connaissance de Harry Tyler et Jimmy Winslow, les seuls occupants anglais. Mais bientôt, plusieurs convois amènent à Colditz des Hollandais, des Polonais, des Français et des dizaines d'Anglais sous les ordres du colonel Richmond. Toute tentative individuelle se soldant par un échec, le colonel Richmond obtient de chaque communauté la désignation d'un "officier d'évasion" afin de coordonner leurs efforts. Dès lors, plusieurs prisonniers réussissent à prendre la fuite, mais pour être chaque fois repris quelques jours plus tard. Les Hollandais démasquent l'un des leurs qui renseignait les autorités du camp, sa famille prise en otages ayant permis d'exercer une pression sur lui. Le traître est condamné à mort, mais le colonel Richmond demande au commandant allemand qu'il soit transféré dans un autre camp. MacGill est abattu alors qu'il tentait de franchir les barbelés en plein jour. Peu de temps après, à l'occasion d'une fête organisée par les détenus, Pat Reid et trois compagnons tentent leur chance. Quelques semaines plus tard, le colonel Richmond lit aux prisonniers réunis dans la cour une lettre de Suisse signée de Pat Reid. La réussite de leur compagnon redonne confiance à l'ensemble des prisonniers ....


Titre original : The Colditz Story

Réalisateur : Guy HAMILTON

Année de production en 1955

Dates de sortie en France : 1957/10/11

 

... Deux autres représentations des prisons apparaissent au cinéma. La première, évoquant l’histoire de la seconde guerre mondiale, décrit les camps de prisonniers et d’extermination. Si les premiers se rattachent indubitablement aux films d’évasions cités plus haut (La grande évasion, Les indomptables de Colditz), les seconds témoignent de la barbarie exterminatrice (Kapò). La seconde évoque surtout les prisons ou prisonniers politiques. Dans cet échantillon, pas de films américains, ce qui atteste bien de leur croyance en la justice de leur pays, mais des films sud-américains (Mémoires de prisons, Le baiser de la femme araignée), italien (Le général della Rovere) ou turc (Yol)...



Le cinéma derrière les barreaux...

Le bagne des filles perdues (1) - Le cinéma derrière les barreaux

 

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