Rien ne prédestinait cette couturière toulousaine à devenir une des héroïnes de la Résistance. Engagée dans la lutte contre l’occupant dès 1940, elle intègre deux ans plus tard le réseau Pat O’Leary, un des plus importants réseaux d’évasion de la résistance, avant d’en prendre la tête sous le nom de « Réseau Françoise ». Elle a fait évader plus de 700 résistants et militaires alliés à travers les Pyrénées entre 1943 et 1944. Pourtant, il faut attendre le 16 avril 2011 pour qu’une plaque commémorative soit inaugurée en sa mémoire à Toulouse...