« Ici, à la “ ménagerie ”, c’est la solitude murée, la solitude morne des fauves captifs, entre des cloisons constamment ouvertes à l’œil de témoins vigilants. La porte verrouillée, on y reste en tête-à-tête avec son “ moi ”, sans même la liberté d’agir à sa guise, à l’abri des regards indiscrets, qui [...]