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Portrait du jour : Véronique Duvillier, peintre, saxophoniste ... et auteur du roman "Le Carnet de croquis"

 

 

Actualisation portrait du jour de Véronique Duvillier

Culture et justice développe la rubrique Portrait du jour et ouvre ses pages aux fidèles lecteurs du site.

Comme un bonheur n’arrive jamais seul Culture et justice reçoit Véronique Duvillier

Véronique Duvillier est née à Paris en 1967. Dès son adolescence, elle écrit des poèmes, et son écriture devient une résilience après la découverte d'une maladie chronique. Véronique Duvillier, formée aux Beaux-Arts de Paris, est la cinquième génération d'artistes peintres, et la petite nièce de René Duvillier. Passionnée d'Histoire, elle se définit comme une « multiste » : peintre, saxophoniste, elle a pratiqué la danse et le théâtre pendant vingt ans. Elle vit depuis quelques années en Guadeloupe, avec son mari et sa fille...

Bienvenue Véronique sur le très prisé et discret Culture et justice

Une jeune femme de la bourgeoisie française, fraichement mariée et artiste peintre, se retrouve expatriée au Maroc en 1936, durant le Protectorat et la seconde Guerre Mondiale. Un voyage exotique et initiatique à Rabat mais aussi à Paris, deux villes qu’elle affectionne, sous forme de journal intime.

Suzanne, artiste peintre et jeune fille issue de la bourgeoisie du Nord de la France, épouse Edouard, un haut-fonctionnaire, qu’elle connaît à peine, et se retrouve expatriée au Maroc durant le Protectorat.

Peu à peu, l’héroïne découvre Rabat, ses difficultés sociales et politiques, alors qu’elle vit dans un quartier privilégié.

Elle n’en oublie pas son goût pour l’Art, et profite de chaque instant pour croquer les scènes de la vie marocaine.

Mais la vie au Maroc devient de plus en plus difficile pour toute la population durant la seconde Guerre Mondiale, notamment les privations liées à l’ingérence du gouvernement français.

De plus, sa vie de femme se complique puisqu’elle s’aperçoit qu’elle vit auprès d’un manipulateur, qu’elle doit assumer seule deux grossesses successives. Elle est même tentée de tromper son mari, mais y renonce fièrement, préférant s’occuper de ses enfants et reprendre une activité professionnelle.

A la fin du conflit, pour les vacances, elle peut enfin retourner à Paris qu’elle redécouvre, et retrouver les siens qui lui avaient tant manqués.

Le Protectorat terminé, installée définitivement à Paris, elle réalisera son rêve de devenir une artiste accomplie et reconnue en France.

 

Antoine Pinel souhaitait goûter une retraite bien méritée, au château de Chimay en Belgique. Mais c'était compter sans le destin et la découverte d'un cadavre...

A 58 ans, Antoine Pinel se voyait couler une retraite paisible. Arrivé à Chimay, belle et gourmande ville de Belgique, de multiples mystères entouraient la famille d'Emeline de Tintamarre et son château. Des intrigues, des rebondissements, de l'action, de l'Histoire, de l'amour, tous ces ingrédients attendaient notre Improbable Inspecteur, dans cette enquête dont il ne soupçonnait, à aucun moment, le dénouement.

 

 

Culture et justice rassemble des informations relatives à l’actualité culturelle sur les questions de justice. Histoires, romans, portraits du jour, salon de livres... 

Page indépendante sans but lucratif administrée par Philippe Poisson et Camille Lazare, membres de l'association Criminocorpus.

https://www.facebook.com/pageculturejustice

A propos du site : Criminocorpus propose le premier musée nativement numérique dédié à l’histoire de la justice, des crimes et des peines. Ce musée produit ou accueille des expositions thématiques et des visites de lieux de justice. Ses collections rassemblent une sélection de documents et d’objets constituant des sources particulièrement rares ou peu accessibles pour l’histoire de la justice.

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Tag(s) : #portrait du jour criminocorpus
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