Le 22 février 1974, un jeune antillais,
incarcéré pour un délit mineur, meurt étouffé lors d’une immobilisation musclée, pendant son transfert au quartier disciplinaire de Fleury-Mérogis. L’enquête tentera d’effacer toute
responsabilité pénitentiaire à travers six expertises successives, lesquelles rivaliseront d’ingéniosité pour le rendre responsable de sa propre mort… En 1974, l’administration pénitentiaire est
encore marquée par les révoltes qui viennent de secouer le monde carcéral ; elle est, de plus, régulièrement vilipendée par la presse et l’opinion pour son archaïsme, son rigorisme et sa
violence. L’affaire Mirval devient vite un symbole et le scandale de son issue ne fera que renforcer la certitude de l’impunité pénitentiaire. Pourtant, elle marque un tournant et plus rien,
après, ne sera plus comme avant. Se joue là, sans doute, le premier épisode d’une lente mutation, mais dans l’opacité la plus totale…
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1974 : « L’affaire Mirval »
http://www.conflits.org/index1584.html
François Boullant
Note du Juge Petit (juge d'application des peines du tribunal de grande instance) de Troyes sur les événements de la nuit du 15 au 16 mai 1970 à la centrale de Clairvaux
...
http://www.horstfantazzini.net/clairvaux.htm
Le 5 décembre 1971 éclate à la centrale Ney à Toul ...
http://philippepoisson-hotmail.com.over-blog.com/article-28748509.html
Prisons actuelles - Évasions (72)
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