Gardien de la prison de la Force. Paris. Gravure d'Eustache Lorsay. 1844. © Roger-Viollet - Numéro d'image : 1460-6 Numéro d'inventaire : RV-380777
… Toutefois il est question de « surveillants » et non de « gardiens » dans les prisons parisiennes dès l’ordonnance de Pasquier du 10 septembre 1811 : il semble que le terme a désigné d’abord les gardiens surveillant les ateliers ainsi que ceux affectés aux quartiers de jeunes détenus. Par extension, il fut appliqué aux gardiens travaillant en détention, ceux étant en poste aux portes se faisant appeler « gardiens » de préférence à « portiers » ou « guichetiers »...
Philippe POISSON - Septembre 2007
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Les origines du personnel de surveillance dans l ...
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14 févr. 2014 - Le blog de Philippe Poisson. Articles à votre disposition concernant l'Histoire de ... Publié par Philippe Poisson. Les origines du personnel de surveillance dans l'
Administration Pénitentiaire. Crédit photographique Dessin de ... Philippe POISSON - Septembre 2007. Origines du personnel de surveillance. -
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14 févr. 2014 - ... de surveillance. Diaporama réalisé par Philippe POISSON ... Le personnel de garde et de surveillance. ... L'administration pénitentiaire.
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personnel de l'Administration Pénitentiaire, sont rares et timides. ... Philippe POISSON ... L'histoire des personnels pénitentiaires est ..... que, dorénavant, deux représentants élus du personnel de surveillance siègeront au Conseil de ... Elle a pour origine la baisse des salaires depuis les meilleures années de l'
Empire. -
[PDF]1946 -1947 La Réforme Pénitentiaire L'Ecole et ... - unBlog.fr
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préconise « que tout agent du personnel pénitentiaire doit avoir suivi les ... interne Paul Amor et la Réforme, dernière actualisation 2 et 3 novembre 2005, Philippe POISSON. ... Il prend la direction d'une administration confrontée à des problèmes ... personnel de surveillance sont majoritairement des anciens militaires.
Paris IVème arr., rue du Roi-de-Sicile. L'ancienne prison de la Force. Gravure d'Ed. Renard (1814). B.N.F. © Roger-Viollet - Numéro d'image : 7981-16 Numéro d'inventaire : RV-311194
La prison de La Force était située rue du Roi de Sicile entre la rue Pavée et la rue de Sévigné actuelle (4ème arrondissement).
L’hôtel de la Force construit en 1698 est racheté par l’Etat en 1754 qui le transforme en 1780 en deux prisons : la Petite Force pour les femmes de mauvaise vie, située rue Pavée, entrée à hauteur du numéro 22 actuelle ; la Grande Force pour les hommes, entrée au 2 actuel de la rue du Roi de Sicile.
En septembre 1792 il y a à la Grande Force 406 détenus dont une douzaine de prêtres réfractaires; il y a 168 victimes dont 3 prêtres. Les condamnés sont massacrés devant la porte de la Grande Force, et les cadavres traînés au coin des rues Malher et Saint-Antoine. A la Petite Force sur 110 détenues, il n’y a qu’une victime : la Princesse de Lamballe.
En 1845 les deux prisons sont démolies et la rue Malher est percée sur son emplacement en prolongement de la rue des Ballets qui reliait, à la Révolution, la rue Saint-Antoine à la rue du Roi de Sicile (rue des Droits de l’Homme, pendant la Révolution).
Il reste un morceau de mur à l’angle des rues Pavée et Malher, et la caserne des pompiers de la rue Sévigné. Une plaque sur la façade du 2 de la rue du Roi-de-Sicile évoque les massacres.