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 Portrait du jour - Sarah Baud, la nouvelle plume du polar romand !

 

Actualisation portrait du jour - Comme un bonheur n’arrive jamais seul … nous accueillons avec infiniment de plaisir Sarah Baud.

Née à Genève en 1971, Sarah Baud est avant tout une personne éprise de liberté et une touche-à-tout. Après la danse, le théâtre et la peinture, elle se lance dans une nouvelle aventure, celle de l’écriture.

Pour son premier roman, la genevoise Sarah Baud s’attaque directement au genre polar. Une fillette retrouvée en état de choc au bord d’une rivière puis, 19 ans plus tard, une série de meurtres qui ébranlent la cité de Lémania où le pouvoir, l’argent et les trafics dominent : « Une fille hors pères » (Slatkine) frappe fort.

https://sarahbaud.com/

Bienvenue Sarah sur le blog des « aficionados du crime ». Ph P

 

Quelle est votre histoire Sarah ?

Je suis née à Genève, en 1971. D’une mère allemande, et d’un père suisse. J’ai arrêté l’école du jour au lendemain, j’avais 15 ans et une envie folle de découvrir la vraie vie. Je me suis lancée dans le théâtre, puis dans la danse. Les tournées m’ont permise de découvrir des villes mythiques. Paris, Londres, Berlin, New York. Le jour où on quitte la maison, on goûte aux premières libertés, les émotions sont vives, bouleversantes. J’en garde un souvenir extraordinaire.

Et aujourd’hui ? Le jour, je suis employée. La nuit, j’écris. J’invente des histoires pour m’offrir l’impression de vivre une autre vie. Ça m’amuse. Entre ces deux mondes, je trouve un moment pour dormir…

Pourquoi l’écriture ?

Cela m’a pris un jour, en refermant un livre, j’ai eu envie d’écrire le mien, celui qui me correspondrait à 100%.

Parlez-nous de vous ?

Je suis plutôt solitaire. J’aime le silence. Quand je l’écoute, j’ai l’impression de surfer sur le langage de la terre. Parler m’oblige à sortir de ma zone de confort. Je préfère observer. J’observe les gens, je les écoute, je retiens leurs histoires quand elles sont racontées avec une charge émotionnelle. J’aime ce qui me fait bouger, ce qui détone, ce qui est brinquebalant. J’aime les défauts, les ratures, les cicatrices, le vécu, le courage d’être honnête, le courage tout court, les personnes qui se pardonnent à elles-mêmes, qui assument et comprennent leurs erreurs, qui s’améliorent, qui grandissent, qui s’accrochent.

 

En plein hiver, une petite fille est retrouvée en état de choc au bord d’une rivière. Les recherches ne permettent pas de l’identifier.

Dix-neuf ans plus tard, une série de rebondissements teintés de violence et de meurtres ébranle la cité de Lémania où le pouvoir, l’argent et les trafics dominent.

Comme si le hasard n’existait pas,  une jeune femme se retrouve confrontée à son passé. Là où elle croyait que tout avait commencé.

Où qu’elle soit. Quoi qu’elle fasse. Elle devra l’affronter.

Un premier roman saisissant.

Éditeur : SLATKINE (07/09/2020)

https://www.slatkine.com/fr/homecategory/editions-slatkine

 

 

 

Culture et justice rassemble des informations relatives à l’actualité culturelle sur les questions de justice. Histoires, romans, portraits du jour, salon de livres... 

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Tag(s) : #portrait du jour criminocorpus
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