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Portrait du jour : Didier Fossey, l’auteur des polars “Burn Out” et "Affaires internes"

 

 

Dessin baroque avec le glaive, provient du site d’images gratuites « Pixabay",

image modifiée par 

 

Réactualisation portrait du jour Didier Fossey

Culture et justice développe la rubrique Portrait du jour, ouvre ses pages aux fidèles lecteurs de la page et reçoit avec infiniment de plaisir Didier Fossey

Bienvenue   sur le très discret et prisé Culture et justice

 

Didier Fossey l’auteur du polar “Burn Out” : Un bon polar, dur et vibrant, qui fait la part belle à l’humain, n’hésitez plus Burn-Out de Didier Fossey est fait pour vous !

“Didier Fossey en né en 1954 à Paris. Après des études secondaires laborieuses, il fréquente un lycée hôtelier à Granville, en Normandie, d’où il sort muni d’un CAP de garçon de restaurant. Il a la chance de travailler sur le paquebot France, puis dans différents établissements parisiens avant d’ouvrir son propre restaurant. En 1984, il laisse tout tomber pour entrer dans la police, à Paris. Ses années de service en brigade anticriminalité de Nuit du 13e arrondissement de 1986 à 2001, les nuits de planque, de traque, la morsure du froid, ce monde de la nuit lui plaisent et lui fournissent quelques anecdotes croustillantes qui lui serviront quelques années plus tard.

Après avoir retrouvé des textes écrits autrefois pour le plaisir, il se lance dans l’écriture de son premier polar, “Tr@que sur le Web” publié dans une petite maison d’édition en 2010. Fort de cette expérience, il écrit un autre polar, “Ad Unum”, en 2011, toujours dans la même maison d’édition.

En 2014, sollicité par un nouvel éditeur, il écrit un roman d’action. Puis, en 2015, il renoue avec le polar et écrit “Burn-Out” aux Éditions Flamant Noir. Le livre rencontre un très grand succès et remporte le Prix polar 2015 du Lions club. Depuis, il ne cesse de conquérir les lecteurs !

On pourrait vous dire aussi qu’il est né en 1954, adore son chien Amos, un carlin sur lequel il n’a aucune autorité. Qu’il n’a jamais correspondu aux clichés de policiers, ce qui a lui a valu parfois quelques remontrances. Qu’il aime aussi chiner dans les brocantes, écouter Serge Gainsbourg et manger un Paris-Brest, que sur une piste de danse il a deux pieds gauches et qu’il est ophiophobe, mais ça, c’est une autre histoire…” 

https://www.babelio.com/auteur/Didier-Fossey/121797

Bienvenue Didier sur Culture et justice. Ph P

 

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Né en 1954 à Paris 18ème, j’ai passé mon enfance entre la banlieue sud et la Normandie.

Un CAP de garçon de restaurant en poche j’ai commencé à travailler dans des chaines d’hôtels parisiens. Mon envie de grands espaces me fait intégrer l’école d’apprentissage maritime au Havre, j’en ressors avec un embarquement à bord du paquebot France. Je le quitterai en 1974, après son dernier tour du monde, pour aller faire mon service militaire. Je n’ai pas été malheureux, après mes classes à Hourtin, je me suis retrouvé maître d’hôtel du chef d’état major, rue Royale à Paris.

Retour dans la vie civile, une expérience en tant que restaurateur indépendant, et puis envie d’autre chose.

En 1984, je rejoins la police nationale, j’y passerai 31 ans dont 18 à la BAC de nuit.

Retraité depuis 2015, je partage ma vie entre l’écriture, mes trois enfants et quatre petits enfants, qui ont eu le bon gout de se disséminer aux trois extrémités du pays. (Reims, Chambéry, Oloron Sainte Marie).

Vos inspirations, vos auteurs de référence.

La lecture est arrivée très vite dans ma vie, par le biais de ma grand-mère, qui, un jour de pluie où je m’ennuyais m’a mis entre les mains, « L’île mystérieuse » de Jules

Verne. J’avais neuf ans, depuis ce jour, il ne s’est pas passé une journée sans que je lise.

J’ai dévoré tous les Jules Verne bien sûr, Stephen King a suivi, San Antonio, avec un petit passage vers la science fiction.

J’ai fait une consommation boulimique de romans de gare, brigade mondaine, SAS…

Aujourd’hui si Stephen King fait toujours partie de mes auteurs préférés, s’y sont ajoutés, Werber, Minier, sans oublier celles et ceux qui sont pour la plupart des ami(e)s et des copines ou copains, Ingrid Astier, Claire Favan, Franck Thilliez, Jacques Saussey, Olivier Norek, Niko Takian, Henri Loevenbruck…

En période d’écriture je lis beaucoup, j’ai besoin de ces pauses entre deux phases productives.

Quand et pourquoi, avez-vous franchi le pas vers l’écriture ?

Ça date de 2009, au cours d’un déménagement j’ai retrouvé des « trucs » écrits quand j’avais 15 ans. Sur des cahiers d’écolier, des délires d’ado. Ça m’a redonné l’envie. Je ne pensais même pas me faire éditer, c’était pour me faire plaisir. Quelques mois plus tard « Tr@que sur le web  » était né.

Vos romans et vos premiers pas dans le monde de l’écriture

En 2010, « Tr@que sur le web » est édité aux éditions les 2 encres. Un an plus tard suivra « Ad Unum », toujours chez le même éditeur. Jusqu’en 2014, plus rien, des problèmes personnels vont me faire mettre l’écriture de côté.

En 2014, à la demande d’un ami je vais participer à un poulpe, dans la série l’Embaumeur, aux éditions l’Atelier Mosesu, le titre, « Na Zdeowie », aujourd’hui disponible uniquement en numérique chez French pulp.

En 2015, sortie chez Flamant Noir, une toute jeune maison d’édition, de « Burn Out ». Ce polar obtiendra le prix du Lion’s club 2015, et connaitra un succès fou, aujourd’hui encore… Il est édité en poche chez Bragelonne.

En 2016 et 2017, Flamant noir réédite « Tr@que sur le web » et « Ad Unum  ».

En 2018, sortie chez Flamant Noir de « ArtificeS ».

Vos projets.

Fin 2019, c’est bientôt, sortie d’un cinquième polar toujours chez Flamant Noir.

Un autre roman en cours d’écriture, où l’on ne retrouvera pas mes flics récurrents. Il faut bien les laisser un peu se reposer.

 

 

 

Tag(s) : #portrait du jour criminocorpus
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